• Un exemple d'entreprise de l'économie sociale et solidaire présentée sur France Inter

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  • le rôle des abeilles

    Un site pour mieux comprendre le rôle des abeilles dans notre environnement

    http://www.one-bee.fr/index.php?option=com_content&view=article&id=56&Itemid=129

     

     

     

     

     

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  • Après un imbroglio mené comme à son habitude par JJ.Guillet et son équipe, le rucher-école tenu par l'AMOP a été dans l'obligation de fermer. Les ruches ont été déménagées sur le terrain des apprentis d'Auteuil à Meudon.

    Chaville en transition regrette cette décision .

    Les abeilles contrairement à d'autres butineurs ne sont agressives que dans certaines circonstances . Dans le cas du rucher de Chaville après  6 ans d'activité sans incident depuis Mai 2007 , l'élagage malencontreux d'arbres  qui bordaient le terrain du rucher a incité les abeilles à modifier leurs circuits et à pénétrer sur le terrain limitrophe pour profiter d'une  source d'eau naturelle.

     Dans ce contexte, une partie du rucher devait être déménagée au Carmel Saint Joseph de Chaville mais les conditions météo et d'accueil ( nécessité d'une construction de clôture adaptée) ont différé ce déménagement.

    Mr Guillet sans chercher à discuter ou à aider ce transfert  a brutalement décidé que toutes les ruches devaient  être déménagées avant le 20 Mars.

    Nous espérons qu'un dialogue sera à nouveau possible entre toutes les parties afin que Chaville retrouve son rucher-école . Rappelons que nous profitons de  fruits, légumes grâce à la pollinisation des abeilles et des autres insectes pollinisateurs.

     

     

    le rucher de Chaville est fermé

     

     Article du Parisien

    http://www.leparisien.fr/espace-premium/hauts-de-seine-92/trop-nombreuses-les-ruches-ont-quitte-la-ville-17-03-2014-3679177.php

     

     

     

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     Chaville en Transition propose une approche innovante pour relancer l'activité économique à Chaville via les Sociétés Coopératives d'Intérêt Collectif, un des modèles de l’ESS

    Qu’est-ce qu’une SCIC ?

    Les Sociétés Coopératives d'Intérêt Collectif (ou SCIC ) sont des sociétés commerciales qui associent obligatoirement trois collèges : les salariés, les bénéficiaires (ou clients) et d’autres parties prenantes tierces. Le tiers peut être la collectivité locale qui devient co-entrepreuneur (dans la limite de 20% des parts).

    Les SCIC permettent de mieux comprendre les besoins d'un territoire et la demande des citoyens. Aussi, l'offre est directement adaptées aux demandes. Ensuite, le fait de s'ouvrir vers d'autres acteurs permet de mieux prendre en compte certains enjeux via l'avis d'associations par exemple. Enfin, si une collectivité participe à la SCIC celle-ci sera mieux reconnue par les institutions financières et aura une capacité d'investissement plus importante.

    Les SCIC doivent avoir un intérêt social (validé en préfecture). Cependant, cet intérêt social étant très large, les SCIC peuvent exercer tout type d'activité à destination d'enjeux collectifs du territoire et de l’utilité sociale. La SCIC favorise les ressources locales et les circuits courts.

    Enfin, la création de collèges permet de pondérer les voix des sociétaires. Ainsi, les fondateurs (par exemple une collectivité) peuvent conserver un pouvoir d’influence important. La gouvernance est coopérative et non conflictuelle.

    Que peut faire une collectivité locale avec les SCIC ?

    Les SCIC sont un des outils mis à disposition des collectivités locales pour favoriser le développement de l’économie sociale et solidaire sur le territoire par le développement de nouveau services d’utilité sociale et environnementale.

    Les SCIC peuvent porter des activités économiques véritablement initiées par la municipalité (et plus seulement incitées). Elle peuvent aussi avoir pour origine un porteur de projet qui sollicite la collectivité au titre de l’éco-citoyenneté. Les SCIC permettent de répondre aux besoins des citoyens même si ces services sortent en partie des prérogatives habituelles d'une municipalité. La SCIC est donc un des moyens d’étendre le champ d’action des collectivités au services des citoyens (et avec eux).

    Quels projets concert pour Chaville ?

    A Chaville : Nous proposons d'expérimenter cette forme d'entreprise. Par exemple, dans le cadre de la réhabilitation de l'académie des beaux-arts, un restaurant participatif pourrait être initié. Ce restaurant pourrait prendre le statut de SCIC regroupant la commune, des fournisseurs de produits biologiques, des clients Chavillois, les employés des bénévoles, etc...
    Si cette expérience est une réussite, nous développerons d'autres types de SCIC sur d'autres types d'activités comme la livraison à domicile pour les personnes à mobilité réduite (réunissant commune, commerçants et l’association chavillois solidaire et les bénéficiaires...), le réaménagement des logements vacants (réunissant commune, propriétaires, professionnels locaux du bâtiments ...), la collecte et valorisation des déchets verts, mise en place d’une filière bois, etc.
    La SCIC est également un outil de portage des projets issus des citoyens.

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    Il est aujourd’hui clair que la transition énergétique est un enjeu majeur en France. La transition énergétique se caractérise par deux principes : la diminution des consommations énergétiques et l'utilisation d'énergie renouvelables.

    Bien que l'énergie dépende, en France, de l'échelon national, la commune a un rôle certain à jouer. En effet, elle peut intervenir sur sa propre consommation. Par exemple, elle peut optimiser sa consommation en choisissant des horaires de consommations aux creux des pics. Elle peut également réfléchir à l'éclairage public via GPSO.

    Nous proposons de réaliser une cartographie participative des lieux d'éclairage de la ville et de leurs durées. Ainsi, nous pourrons limiter les éclairages aux seules durées nécessaires et au seuls lieux vraiment utilisés la nuit. Éventuellement, nous développerons des systèmes de reconnaissance de présence.

    La commune peut également assurer la rénovation thermiques des bâtiments communaux et l'inciter pour le reste de la commune.

    Nous nous engageons à intégrer dans les cahiers des charges de tous projets d'aménagements et de rénovation des contraintes énergétiques en prenant en compte les recommandations du CC2D. Par exemple, tous les aménagements neufs prévus dans des projets communaux seront à énergie positive (produisant de l'énergie) comme l’exigera la réglementation en 2020. Pour les bâtiments existants nous privilégierons les investissements vers les économies d'énergies.

    La commune peut également initier le développement d'autres sources d'énergies et produire elle-même une partie de ses besoins. Par exemple, des méthaniseurs pourraient être développés afin d'obtenir des production de gaz naturel. Des panneaux solaires, la géothermie, l'utilisation de l'eau grises pourraient être prévues pour produire de l'énergie (par la récupération de la chaleur présente dans l’eau). De même, pour la chaufferie du réseau de chaleur une migration de la source d’énergie gaz vers le bois pourrait être étudiée.

    Nous nous engageons à encourager l'ensemble des initiatives allant dans ce sens. Nous développerons la filière des déchets verts pour développer les méthaniseurs et en récupérer le gaz.

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    1. Qu’est-ce que l’éco-citoyenneté ?


    C’est rendre possible la participation des citoyens à des initiatives d’intérêt général pour notre ville : au service du lien social, de l’économie locale et de l’écologie. Nous voulons faire émerger et soutenir les projets portés par des associations ou des particuliers. L’éco-citoyenneté, c’est aussi la participation des citoyens aux décisions qui les concernent par une concertation renforcée.
    C’est le rôle des élus de créer les conditions d’un vivre mieux ensemble. Nous serons donc vigilants à ce qu’il y ait écoute des besoins, dialogue, concertation pour chacun des projets impactant durablement la ville. Les élus seront formés pour accompagner et encadrer les débats lors de réunions publiques.

    2. Pourquoi ? Pour favoriser le développement durable et/ou la transition écologique


    Les décisions municipales se feront au regard de leur impact écologique et citoyen. C’est la base du développement durable ou de la transition écologique. Les différents volets (social, économique, environnement) seront étudiés de manière transversales pour préparer les actions de l’agenda 21.
    http://fr.wikipedia.org/wiki/Agenda_21
    Les actions de l’agenda 21 seront mises en place conjointement avec le renouveau de la démocratie participative à Chaville et feront l’objet d’une fiche d’évaluation et d’un suivi régulier

    Les thèmes retenus sont notamment :


    • La lutte contre l’isolement et l’exclusion
    • Lutte contre la précarité énergétique : aide à l’ éco-rénovation des logements vacants
    • Actions d’économie d’énergie sur le patrimoine communal (éco-rénovation, si possible une requalification de l’éclairage public en particulier à proximité des forêts)
    • Exigences d’écoconstruction pour les nouveaux projets de la commune
    • L’économie circulaire : compost (collecte des déchets verts, utilisation locale), réparation (création de repairs café), réutilisation (mise en place d’une ressourcerie)
    • Favoriser les circulations douces (pistes cyclables et stationnement adapté)
    • Place de la nature en Ville (travail sur les corridors écologiques, choix des essences plantées (nous éviterons les plantes allergènes), protection du rucher)
    • Protection des ressources en eau de Chaville (utilisation des sources, protection des zones humides, gestion des eaux pluviales)
    • Réflexions sur les possibilités de production locale d’énergie (méthanisation des déchets verts, utilisation de l’énergie hydraulique du Marivel)
    • Développement des jardins partagés et de l’agro-écologie (dans les espaces publics libres, dans les copropriétés, dans le parc social, talus ferroviaires)
    • La préservation de notre patrimoine naturel : les forêts (mise en place d’une charte ou convention avec l’ONF)


    3. C’est possible :

    Exemples réussis portés par la municipalité précédente (2001-2008)
    Le pédibus : parents et municipalité s’associent pour accompagnement piéton des enfants à l’école pris en main par des parents avec l’aide de la municipalité a été un succès. Ce système pourra être développé dans le quartier de l’Ursine.
    Les filets verts : projet de terrain de sports porté par des jeunes à recréer selon les mêmes principes. Les jeunes sont associés tout au long du projet. Une charte d'utilisation et d’entretien est établie entre ces jeunes et la Ville. Ce projet pourra être redémarré.
    Le budget participatif de la Caisse des écoles a permis la réalisation de nombreux projets grâce à une plus grande autonomie laissées aux équipes enseignantes.


    4. D’autres idées sont possibles


    Les nouvelles initiatives pourront émerger des Chavillois ou être proposées par la municipalité. Quelques exemples :
    Les jardins partagés : Un groupe de chavillois souhaitant pratiquer le maraichage s’associe et identifie une parcelle « en jachère » ou en attente d’affectation. La municipalité peut aider à mettre cette parcelle à disposition au travers d’une convention. Une charte d’utilisation est mise en place.
    Le quartier « éco-citoyen » : les habitants d’un immeuble ou d’un rue conviennent ensemble des gestes verts qui peuvent être mis en place dans l’immeuble (partage d’outils, compost, partage de vélos, économie d’énergie, échanges de services, etc.)
    La même approche pourra se décliner pour la mise en place du co-voiturage et d’un vélobus, la parrainage de plantation dans l’espace public, la cartographie des zones humides, le code du partage de la rue, mise d’un café /restaurant coopératif…


    6. Comment la développer l’approche éco-citoyenne dans Chaville ?



    Un(e) maire adjoint(e) à la citoyenneté, à la transition et à la démocratie participative sera nommé(e). Il /elle aura un rôle transversal. Il/elle sera en lien direct avec les différents conseils (CC2D, CVL , conseil

    des jeunes) dont le rôle sera renforcé ( présentation en conseil municipal, budget études…), qui seront plus ouverts à la participation des Chavillois et plus représentatifs de Chaville.
    Dans un premier temps des personnes ressources issues d’association ou de simples citoyens seront sollicités pour préparer des événements fédérateurs sur des thématiques précises. Ces évènements auront pour but de mobiliser et de sensibiliser les habitants afin petit à de mettre progressivement en place des conseils de quartier pouvant être à même d’organiser concertation et prise de décision participative. Ce dispositif permettra de faire émerger et d’accompagner les initiatives citoyennes.

    Ces événements pourront prendre des formes diverses : théâtre forum, atelier de concertation de création, expos, randonnée. Tout sera fait pour multiplier information, formation et imagination.
    Les associations auront un véritable statut et une reconnaissance de leur rôle de création de lien social. (mutualisation des services, soutien )

    7. La gouvernance des ressources naturelles


    Nous souhaitons que les Chavillois soient non seulement informés mais aussi formés pour participer pleinement à la transition de la ville, nous les impliquerons dans la gouvernance des ressources naturelles (compte-rendu de réunion et conseils avec les partenaires SIAVRM, RFF , SNCF,ONF..).
    Exemples de gouvernance à poursuivre ou mettre en place
    Charte de l’eau initiée par l’association Espaces.
    http://www.association-espaces.org/wp-content/uploads/2013/04/Echo-47.pdf

    Etude et négociation pour l’utilisation des talus ferroviaires avec RFF.
    Comités de ligne pour l’amélioration des conditions de transport SNCF
    Charte des forêts avec l’ONF

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    Les services de GPSO ont entrepris d'élaborer le schéma de la Trame verte et bleue selon la loi dite "grenelle 1" qui vise à préserver et remettre en bon état les continuités écologiques et selon la "loi grenelle 2" qui précise les éléments de la Trame verte ( réservoirs de biodiversité, corridors) et de la Trame bleue ( rivières et zones humides remarquables).


    Nous prendrons en compte les propositions faites par le CC2D sur la trame verte et bleue. De plus, une sensibilisation des Chavillois sera engagée pour inciter la mise en place d’actions volontaires et participatives sur la trame verte comme :


    • ouverture de petits passages pour la faune entre les parcelles
    • nichoirs divers
    • identification des relais de biodiversité
    • promotion de vigie-nature
    • parrainage de plantation de l’espace public
    • etc.


    Les talus ferroviaires à Chaville ont une emprise foncière très importante et font partie de la trame verte. Nous serons très vigilants à ce que leur gestion et leur entretien répondent aux besoins et à la qualité de vie des Chavillois.


    Nos propositions :


    • Mise en place de convention de gestion pour l’entretien des talus ferroviaires à l’image de ce qui se fait déjà sur Vanves et Courbevoie …. Cette entretien pourra être confié à une entreprise d’insertion disposant d’une expertise en écologie urbaine .
    • Lorsque ce cela est pertinent : ouverture des emprises RFF aux Chavillois pour la mise en place de jardins familiaux nécessitant de grandes parcelles (exemple en haut de la rue Guilleminot) d’autres plus abrupts seront sécurisées pour la culture de fleurs d’agréments, d’arbres fruitiers (en espalier) dont les récoltes pourront faire l’objet d’ateliers de cuisine intergénérationnels.
    • Prise en compte des périodes de reproduction lors des travaux d’élagage sécuritaire
    • Valorisation du bois de découpe
    • Analyse de la qualité de sols aux abords des voies.

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  • L’eau naturelle est très présente pour des raisons géographiques (Vallée du ru de Marivel)et géologiques (sables perméables et argiles qui à fleur de coteaux laissent émerger des sources) : les rus de Marivel, de la Ferme et de nombreuses sources sont canalisées et partent en station d’épuration.


    Nous proposons d’étudier pour chaque projet d’aménagement comment ces eaux claires pourraient être utilisées pour l’arrosage, le nettoyage et la production d’énergie ( ex du collège de Sèvres) et de réhabiliter des zones humides (mares, abords des sources, étangs ) sous la forme de jardins pédagogiques.


    Le système d’assainissement est en unitaire : mélange des eaux pluviales et des eaux sales. Quand les précipitations sont importantes , il y a des rejets en Seine du fait de la saturation des réseaux. Comme les sols sont imperméabilisés, l’eau n’est pas absorbée dans le sol.


    Nous proposons de créer des noues ou bassins enherbés pour retenir l’eau en amont et favoriser son infiltration. Ces mesures seront prises en cohérence avec l'hydraulique des réseaux d'assainissement et en concertation avec les gestionnaires.


    Cette technique présente l’intérêt d’être multifonctionnelle : rétention-infiltration et création d’un espace paysager qui améliore le cadre de vie et qui permet de filtrer les eaux de pluie avec les plantes.
    Une faune et une flore adaptées reviennent.


    Les projets de maîtrise du ruissellement pluvial sont fortement soutenus par l'administration. Nous solliciterons l'appui du Conseil Général et les subventions de l’agence de l’Eau Seine –Normandie.
    Le cas du Centre-ville : lors de travaux de fondation de l’eau claire a été trouvée et il a été nécessaire de la pomper. Le débit est de 35 m3/h soit 35 000 l/h. La consommation moyenne d’eau par hbt/jr est de 137 litres. C’est aussi important que le débit de la source Saint Germain qui est utilisée pour chauffer et refroidir le collège de Sèvres. D’autres pompes fonctionnent ainsi à Chaville.


    Nous proposons d’étudier l’origine de cette eau, ces caractéristiques et les possibilités d’une meilleure utilisation.


    Des initiatives citoyennes comme la randonnée « sur les traces du ru de Marivel » et la cartographie des sources, puits et zones humides ont été initiées car ce sont des outils précieux de connaissance du système hydrographique.

    Nous soutiendrons ces initiatives activement de même que tous les projets pédagogiques (jardin de l’inf’eau, classes eau) et de valorisation du patrimoine culturel et naturel du ru de Marivel.
    Le Syndicat Intercommunal d’Assainissement de la Vallée du Ru de Marivel est en charge de la gestion du réseau d’assainissement communal. La Commission Consultative des Usagers du Service Public d’Assainissement n'est aujourd’hui composés que de 10 membres dont seulement 3 associatifs et de 7 élus déjà délégués syndicaux.


    Nous ferons des comptes rendus réguliers aux Chavillois des assemblées d’usagers. Nous travaillerons à diversifier les membres de la commission. Ouvrir cette commission à d'avantage d'usagers facilitera la transparence de l'activité du délégataire.


    Mené par l'association ESPACES, une gouvernance de l'eau incluant l'ensemble des usagers voit progressivement le jour. Une charte de l'eau a été établie sur notre territoire. Celle-ci à pour but d'initier une politique de l'eau commune à l'ensemble des acteurs des masses d'eaux concernées. La charte pourrait évoluer vers la mise en place d'instance avec des pouvoirs de décision s forts (SAGE ou contrat de bassin).


    Nous participerons aux travaux initiés dans le cadre de la Charte de l'eau et nous soutiendrons les projets d'instances telle qu'un contrat de bassin ou un SAGE. Nous veillerons à ceux que les usagers et les problématiques chavilloises ne soient pas oubliées dans la création de ces instances.


    On l'a dit, à Chaville , l'eau est omniprésente. Cette eau doit être prise en compte dans les documents officiels de la municipalité (le PLU par exemple).
    Aussi, nous proposons la réalisation d'un zonages des zones humides. Celui-ci peut être subventionner à 80% par l'agence de l'eau.
    Le PLU peut également avoir un impact fort sur la gestion des eaux pluviales. A paris, par exemple, un zonage pluvial a été mis en place pour favoriser l'abattement aux volumes des eaux pluviales en fonction des possibilités géologiques et topographiques.
    Nous proposons la réalisation d'un zonage pluvial sur ce modèle en prenant également en compte la faisabilité sociale des mesures qui y seront présentées.

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    L’agro-écologie urbaine crée du lien social, des échanges solidaires inter –générationnels.  Une production locale et biologique préserve la planète et réduit la pollution ( moins de déplacements) et permet  l’infiltration des eaux de pluies.


    Les terres de Chaville riches et bien exposées ont longtemps eu une vocation agricole ( maraîchages, vignes, prés). Nous voulons poursuivre et développer les différentes expériences de production locale ( rucher, vignes , potagers)


    Chaville présente déjà plusieurs points permettant de faire des jardins partagés et familiaux. Nous pouvons faire mieux .

    Nous proposons une mise en place d’un zonage du plu pour l’agriculture urbaine. (dans les espaces publics libres, dans les copropriétés, dans le parc social, talus ferroviaires…)
    Nous proposons une réflexion sur la production locale d’arbres fruitiers pour une consommation locale ( collectivités, restaurants scolaires) .

     

     

     

     

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  • La mobilité dessine la ville, les échanges et les flux la façonnent. En 30 ans, les villes sont passées de la prépondérance de l’automobile à des modes de mobilité diversifiés, pacifiés, et respectueux de l’environnement: les transports en commun ont pris une place prépondérante, les centres-villes sont devenus piétonniers, les mobilités « douces » et « actives » sont plébiscitées.
    Chaville attend sa transition vers les mobilités urbaines de demain.
    Notre ville bordée de forêts et bien dotée en gares et liaisons ferroviaires offre de nombreuses possibilités de développement aux modes de circulation non-polluants et dynamiques, reconnus comme bons pour la santé par l’OMS.


    CHAVILLE EN TRANSITION veut construire ce nouveau rapport des citoyens à leur ville.


    Nous nous engageons à développer une trame active qui permettra de favoriser la circulation des vélos dans la ville, ainsi que d’assurer la continuité des itinéraires cyclables avec les communes voisines.
    Nous mettrons en valeur nos zones 30 km/h et zones 20 km/h (piéton prioritaire) pour pacifier la ville. Pour cela, nous étudierons la situation des « zones 30 » rue par rue afin de mettre en place les « double-sens cycliste » dans les zones 30 dès lors que la topologie des lieux s’y prête. Notre ligne directrice sera de favoriser des itinéraires possibles entre les différents pôles de vie et d’activité, à pieds ou en vélo.
    Nous équiperons la ville de parkings à vélo dimensionnés et protégés autour des gares, des commerces, des marchés, de l’Atrium, des écoles et collège, des lieux publics en général ;
    Nous veillerons au respect de la réglementation en termes d’équipement en parking à vélo dans toutes les nouvelles constructions collectives sur notre commune.
    Nous animerons les échanges nécessaires avec les communes avoisinantes, et au sein de GPSO, pour mettre en place une continuité des itinéraires actifs régionaux.

     

     

     

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