• Le groupe Eau et écologie urbaine est une émanation du Conseil Communal de Développement Durable et prend la suite du groupe eau initié en oct 2010. Il est co-animé par Irène Nenner et Isabelle Dorison . Il est ouvert à tous les Chavillois intéressés experts ou non. Il s'agit de sensibiliser à la gestion durable de l'eau, patrimoine naturel très présent à Chaville dans le cadre de la charte de l'eau et de contrat de bassin initiés par l'Association Espaces et de promouvoir des actions concrètes de restauration des zones humides à Chaville (rus,sources, fontaine, étangs, mares...)

    pour plus d'infos : Isabelle Dorison tel:  0603172054

     

     

     

     

     

    Lire la suite...

    Partager via Gmail Yahoo! Google Bookmarks

    votre commentaire
  • MyPositiveImpact

    La Fondation Nicolas HULOT lance, en collaboration avec l'ADEME et Ctegreen, l'opération "My positive impact" vous permettant de voter pour les solutions qui vous semblent les meilleurs pour agir contre le réchauffement climatique. La transition  est en marche.

    Pour ne pas se résigner, encourageons le changement pour que les bonnes idées pour le climat soient connues de tous et deviennent les standards de demain.

     

    Comment ? En allant sur le site pour voter parmi les solutions proposées. Les 5 solutions les plus soutenues gagneront une campagne médiatique à fort impact.

    http://www.mypositiveimpact.org/

    http://www.mypositiveimpact.org/projets/liste

    http://www.presse.ademe.fr/2015/03/my-positive-impact-cliquez-pour-le-climat.html

    https://www.citegreen.com/blog/2015/03/citegreen/citegreen-participe-a-my-positive-impact-de-la-fondation-nicolas-hulot/

    Pour aller plus loin:

    http://www.consoglobe.com/my-positive-impact-cg

    http://www.liberation.fr/economie/2015/03/11/my-positive-impact-nicolas-hulot-veut-mobiliser-pour-le-climat_1218893

     

     

    Partager via Gmail Yahoo! Google Bookmarks

    votre commentaire
  • Un rassemblement est prévu le samedi 21 mars à partir de 15H dans le jardin (rendez -vous avenue Gordon Bennett Paris 16ème), organisée par les organisations de défense de l'environnement et du patrimoine dont Ile de France environnement  :

    "Non à l'annexion du jardin botanique des serres d'Auteuil au seul profit de la Fédération Française de tennis

    Oui à une autre solution viable et écologique  à tout point de vue avec couverture paysagée de l'A13 "

     

     

    Un voeu en ce sens sera porté le 16 mars 2015 par les élus EELV aour en débattre au Conseil de Paris:

    "

    Vœu relatif à l’extension du stade Roland Garros déposé par Yves Contassot, Jacques Boutault et les élus du groupe écologiste de Paris 


    Considérant le projet de la Fédération française de tennis d’extension du stade Roland Garros sur l’emprise des Serres d‘Auteuil ; 
     


    Considérant la proposition émise par les associations de défense de l’environnement que l’extension soit effectuée par couverture de l’autoroute A13 plutôt que dans le jardin classé des Serres d’Auteuil ; 
     

    Considérant le vœu adopté à l’unanimité lors du Conseil de Paris des 25 et 26 mars 2013 demandant qu’une « étude juridique et financière indépendante menée par un bureau d’études expert » soit menée afin d’examiner la faisabilité de la couverture partielle de l’autoroute A13 ; 

    Considérant le rapport commandé par la Ministre de l’écologie, du développement durable et de l’énergie à des experts du Conseil général de l’environnement et du développement durable ;  

    Considérant les conclusions de ce rapport qui estime : « le projet alternatif vise une extension en couvrant partiellement l’autoroute A13, techniquement réalisable sans obstacle juridique… Le coût estimatif semble réaliste » 

    Considérant que le rapport préconise également « qu’il serait pertinent que les autorités concernées établissent avec les acteurs intéressés un bilan des avantages et inconvénients liés à une utilisation des installations voisines »  

    Considérant que le rapport recommande que des études complémentaires soient menées sur l’insertion paysagère et les reports éventuels de circulation pendant le tournoi ; 

    Considérant qu’il apparaît que la proposition alternative constitue une piste qu’il ne faut pas éliminer trop rapidement comme l’a fait la Fédération française de tennis ; 

    Considérant la recommandation du Président de la République que les propositions alternatives à des grands projets fassent l’objet d’études approfondies avant toute prise de décision ; 

    Considérant que la proposition de couverture de l’autoroute A13 a d’abord été émise par la fédération française de tennis dans le cadre de la candidature de Paris pour les Jeux Olympiques de 2012 et qu’elle n’a pu être formulée qu’après une étude interne démontrant un intérêt réel pour le bon fonctionnement du site et du tournoi de Roland Garros ; 

    Considérant par ailleurs l’avis de la Commission supérieure des sites, perspectives et paysages lors de sa réunion du 15 décembre 2011 adressé par courrier au Préfet de Paris par courrier du 20 mars 2012 ; 

    Considérant que dans son avis la CSSPP a précisé que la poursuite du projet était subordonnée à 
    • L’exclusion des deux bâtiments en meulière du périmètre de la concession,
    • La réduction de l’emprise de la concession temporaire dans la partie nord du jardin contemporain dit japonais, 
    • L’exclusion du Petit Jean Bouin de la concession des stades Jean Bouin accordée à la FFT,
    • L’ouverture au public, hors tournoi, des circulations Nord-Sud à l’intérieur de RolandGarros, et de la place des Mousquetaires ; 

    Considérant que ces réserves n’ont pas été levées à ce jour puisqu’elles supposent des avenants aux concessions de Roland Garros et de Jean Bouin.  

    Aussi, sur proposition d’Yves Contassot, Jacques Boutault et du groupe écologiste de Paris, le Conseil de Paris émet le vœu suivant : 


    Qu’avant toute décision concernant l’extension du stade de Roland Garros sur le jardin des Serres d’Auteuil, une étude complémentaire soit menée afin de répondre précisément aux recommandations du rapport des experts du Conseil général de l’environnement et du développement durable ;
     

    • Que cette étude soit menée sous l’égide de la Commission nationale du débat public afin d’en garantir la neutralité et d’assurer une concertation réelle et approfondie ; 

    • Qu’avant toute décision le gouvernement attende le vote par le Conseil de Paris des avenants aux traités de concession tel que cela a été demandé par la CSSPP ; • Et qu’en attendant les conclusions de l’étude sur le projet alternatif et le vote des avenants par le Conseil de Paris, aucun avis favorable ne soit donné à la demande de la fédération française de tennis d’implanter un court dans le jardin classé des Serres d’Auteuil. " 

     

    Partager via Gmail Yahoo! Google Bookmarks

    votre commentaire
  •  

     Dépêche AFP

    20 mars 2015 - 07H27
    © AFP/Archives / Par Céline SERRAT | Si rien ne change, la planète devrait faire face à un déficit global en eau de 40% d'ici 2030
    PARIS (AFP) - 

    La demande mondiale d'eau s'envole et 20% des réserves souterraines sont déjà surexploitées: dans un rapport publié vendredi, les Nations unies appellent à changer radicalement l'utilisation et la gestion de cette ressource pour éviter une grave pénurie d'ici 2030.

    "Si rien ne change, la planète devrait faire face à un déficit global en eau de 40% d'ici 2030", indique un rapport annuel des Nations unies.

     

    Pourtant, il existe "suffisamment d'eau pour répondre aux besoins grandissants du monde, mais pas sans changer radicalement la façon dont l'eau est utilisée, gérée et partagée", affirment les auteurs de "L'eau pour un monde durable".

    Le rapport insiste sur les liens complexes entre accès à l'eau, développement et gestion durable de la ressource: la lutte contre la pauvreté s'accompagnant d'une croissance de la demande en eau, qui parfois conduit à une surexploitation de cette ressource.

    L'exemple de l'Inde illustre cette difficile équation. Dans ce pays, le nombre de puits mécanisés est passé de 1 million à 19 millions entre 1960 et 2000. Si cette évolution a permis de lutter contre la pauvreté, le développement de l'irrigation a aussi provoqué "un stress hydrique important" dans des régions comme le Maharastra (sud) ou le Rajasthan(est).

    En Chine, dans la plaine du nord, l'irrigation intensive a provoqué une baisse de plus de 40 mètres de la nappe phréatique, relève également l'ONU.

    Si l'agriculture est en cause, l'industrie est aussi de plus en plus consommatrice d'eau et la demande mondiale de ce secteur devrait augmenter de 400% entre 2000 et 2050.

    L'augmentation des besoins est alimentée à la fois par l'élévation du niveau de vie et par la croissance démographique, la population mondiale gagnant 80 millions de personnes par an. Il est prévu qu'elle atteigne 9,1 milliards en 2050, dont 2,4 milliards en Afrique subsaharienne, selon l'ONU.

    Et face à des besoins en forte hausse, le changement climatique va modifier le régime des précipitations, souvent au détriment des zones déjà en manque d'eau, comme la région méditerranéenne ou l'Afrique subsaharienne.

    Autre conséquence du réchauffement: le niveau de la mer s'élève et affecte les réserves souterraines d'eau douce des zones côtières. C'est déjà le cas à Calcutta, Shanghaï ou Dacca. "Même chose pour les îles Tuvalu et de Samoa dans le Pacifique où les habitants dépendent de plus en plus de l'eau importée", alerte l'ONU.

     

    - Des pistes pour agir -

     

    Dans ce contexte, la gestion de l'eau est inadaptée, affirme le rapport publié avant la Journée mondiale de l'eau le 22 mars.

    L'irrigation intensive, le rejet incontrôlé de pesticides et de produits chimiques et l'absence de traitement des eaux usées sont notamment pointées du doigt.

    "Des régions de Chine, d'Inde et des États-Unis, ainsi que le Moyen-Orient, puisent dans des réserves souterraines de manière non durable", a expliqué à l'AFP Richard Connor, l'un des auteurs.

    Le rapport onusien propose aussi des pistes pour agir.

    Il invite par exemple à limiter l'utilisation de centrales thermiques (80% de la production d'électricité) qui "sont très gourmandes en eau" en subventionnant les énergies solaire et éolienne.

    Des aides aux agriculteurs choisissant des systèmes d'irrigation performants sont aussi préconisées, à l'instar de ce qui a été fait à Chypre.

    Le document met aussi en avant que "chaque dollar investi pour la protection d'un bassin hydrologique peut permettre d'économiser jusqu'à 200 dollars sur les coûts de traitement de l'eau.

    En Ouganda, 235.000 dollars dépensés chaque année pour protéger un marais permettent à Kampala d'économiser deux millions par an dans le traitement de l'eau.

    Une meilleure gouvernance, conduisant à une action plus efficace pour réduire les déperditions, est un autre levier. Phnom Penh a ainsi réussi à passer de 60% de déperditions en 1998 à 6% en 2008.

    Dans le cadre des nouveaux objectifs du développement durable, qui doivent être entérinés cette année pour 2030, toutes ces facettes de l'eau doivent être prises en compte, plaide le rapport, en rappelant que "malgré des progrès considérables ces dernières années, 748 millions de personnes sont toujours privées d'accès à une source d'eau protégée d'une éventuelle contamination".

    Par Céline SERRAT
     
     
     

    ? 2015 AFP

    Partager via Gmail Yahoo! Google Bookmarks

    votre commentaire
  • le 30 Mai après midi sur le parvis de la mairie de Chaville:  troc  de plantes et semences, lors de la semaine du développement durable sur le thème de l'économie circulaire.

    Semons, bouturons, divisons les vivaces dès maintenant .... et RDV le 30 Mai

    Lire la suite...

    Partager via Gmail Yahoo! Google Bookmarks

    votre commentaire
  • Un village écolo 100 % open source va pousser cet été dans les Yvelines

    Par le 23 Mars 2015
     
     
     
    Un village écolo 100 % open source va pousser cet été dans les Yvelines

     

    Du 15 août au au 20 septembre, une centaine de makers va bâtir un village de la transition énergétique au château de Millemont. Co-fondateur du collectif OuiShare, dédié à l'économie collaborative, Benjamin Tincq est l'un des initiateurs de ce projet baptisé POC 21. Interview.

     

    La suite sur http://www.wedemain.fr/Un-village-ecolo-100-open-source-va-pousser-cet-ete-dans-les-Yvelines_a918.html

     

    Pour candidater https://docs.google.com/forms/d/1nur05JKoASOdCMEQZIVpKKZIEZ5uLbpv0RejS8rhej8/viewform

     

     

     

    Partager via Gmail Yahoo! Google Bookmarks

    votre commentaire
  • Crue centennale de la Seine :pourquoi et comment s’y préparer
    L’Île-de-France qui compte 11,7 millions d’habitants pour 1300 communes est la locomotive de l’économie française et concentre les principaux pouvoirs économiques et politiques. Cette région, au cœur de 3 confluences, Seine/Yonne, Seine/Marne et Seine/Oise, a connu une soixantaine de crues majeures depuis le VIe siècle et en connaîtra d’autres. La crue fait partie du fonctionnement naturel des cours d’eau mais elle peut prendre une ampleur exceptionnelle en cas de pluies intenses et durables. En Île-de-France, elle est inscrite dans la géographie d’un territoire qui s’est structuré le long d’un fleuve.
    En janvier 1910, Paris et sa proche banlieue connaissent l’une des plus importantes crues de la Seine de son histoire. Commencée le 21 janvier, la crue atteint son maximum le 28 janvier au pont de la Tournelle, avec une cote de 8, 50 mètres. La moitié de la ville est inondée et plus de 200 000 parisiens sont sinistrés. On a parlé de crue centennale, car on estime que ce type d’évènement arrive, en moyenne, 1 fois tous les 100 ans.
    Si rien de significatif n’est fait, les Hauts de seine seront particulièrement touchées, et pas uniquement les communes situées tout au bord de la Seine, vu la nécessité de tous de se déplacer, de travailler, de s’approvisionner, de se divertir dans toute l’aire urbaine de la métropole parisienne :
    • 20 % de la superficie du département ;
    • près de 300 000 personnes ;
    • 2 500 commerces.
    L’évaluation des dommages en cas de crue de type 1910 est estimée de 4 à 5 milliards d’euros pour le département.

    Des actions de préventions existent :
    -quelques petites informations sur le site du conseil général du 92
    http://www.hauts-de-seine.net/cadre-de-vie/eau/crues-de-la-seine/les-actions-anti-crues/
    -un peu plus sur le site de la Préfecture du 92
    http://www.hauts-de-seine.gouv.fr/Politiques-publiques/Environnement-et-prevention-des-risques/Prevention-des-risques/Risques-majeurs/Risque-inondation

    On comprend néanmoins que 2 études menées soient assez sévères quant au manque de préparation de toute la région au risque d’un 1910-bis :
    -Le Haut Comité français pour la défense civile (HCFDC) a tiré, en juillet 2013, des conclusions suite à la gestion de crise de l’ouragan Sandy à New York, et décrit un « sous-dimensionnement inquiétant » du système de commandement en France.
    https://www.hcfdc.org/securise/pdf/sandy/rapport_sandy_hcfdc.pdf
    -l’OCDE, l’Organisation de coopération et de développement économiques, a remis un rapport le 24 janvier 2014 sur « la gestion des risques d’inondation sur le bassin de la Seine en Île-de-France ».
    http://www.oecd.org/gov/risk/Gestion-du-risque-inondation-seine-resume-executif.pdf

    Selon les responsables de l’étude, il n’existe pas aujourd’hui de vision stratégique d’ensemble pour prévenir et limiter la catastrophe : le millefeuille administratif induit des périmètres de responsabilités qui se chevauchent et ne sont pas forcément efficaces.
    Pour le Haut Comité français pour la défense civile, comme pour l’OCDE, l’information des politiques, des entreprises – notamment les PME – et des citoyens est peu développée (il n’y a pas de campagne « signifiante » selon le HCFDC). L’organisme économique parle, lui, d’une « anesthésie de la prise de conscience » des risques dus à l’absence de crue majeure depuis près de soixante ans. « C’est le rôle de l’État, explique Corinne Rufet, vice-présidente du conseil régional chargée de l’environnement, nous agissons dans nos domaines de compétences, sur la biodiversité, l’aménagement du territoire, sur la préservation des zones humides. Mais l’information des populations est une mission régalienne. »
    Il est donc nécessaire pour toute l’Ile de France et tous ses départements de revoir les dispositifs envisagés en y associant activement les citoyens, la « société civile « et les associations de protection de l’environnement.

    Partager via Gmail Yahoo! Google Bookmarks

    votre commentaire



    Suivre le flux RSS des articles
    Suivre le flux RSS des commentaires