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La transition écologique et la crise des finances publiques sont incompatibles ? Et si c’était l’inverse ?
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Si vous voulez obtenir quelques chiffres et quelques elements de reflexion pour une plus large pratique de la bicyclette en ville , je vous recommende la lecture du blog suivant, ecrit par Sébastien Bosvieux:
http://sebos31.over-blog.com/article-4548795.html
bonnes fetes
LucOvert
copie de l'article:
Voilà une question que j'aime beaucoup car j'y réponds facilement. Ce n'est pas le vélo qui est dangereux mais bien la voiture !!!
Après le préjugé de la pollution comme excuse pour ne pas pédaler, je vais tenter de casser aujourd'hui celui des risques très importants de chutes et de blessures pour le cycliste.
Il est tout à fait légitime de se poser quelques questions avant d'enfourcher une bicyclette et de se jeter dans l'arène.
Ai-je plus de risques d'être blessé en vélo qu'en voiture ?
Tout d'abord il faut savoir que le vélo représente 4% des déplacements en France, 4% des blessés graves et un peu moins de 4% des tués dans des accidents de la route. A titre de comparaison, les motards sont respectivement à 2%, 30%, 21%.
Moto > 50 Scooter, cyclomoteur 10-35 Vélo 1.5-2 Voiture 1 Piéton 0.5-1 Transport en commun ~0 Risque d'être tué ou blessé gravement en ville (G. Wolf 1991)Année Tués Blessés 1970 795 13157 1980 659 13418 1990 401 8257 2000 255 5927 2002 211 4571 2003 190 4851 2004 167 4427 2005 180 4587 Les morts et blessés en France à vélo (Sécurité Routière)
Le tableau de gauche indique un risque plus élevé en vélo qu'en voiture. Toutefois ces chiffres de 1991 sont à rapprocher à ceux du tableau de droite. Les diminutions sont nettes au fil des années et entre 2001 et 2004 le nombre de tués a diminué de 30% pour les cyclistes et seulement 15% pour l'ensemble des usagers.
Il est important de noter que le nombre de morts a augmenté entre 2004 et 2005 (tableau de droite) même si cette recrudescence des morts en ville a touché surtout les piétons et les motards. La cause première est l'excès de vitesse (65% des infractions en 2005 en ville contre 53% en 2004).
Alors les mauvaises langues me rétorqueront que les accidents sont plus fréquents en ville qu'à la campagne. C'est exact mais ils sont 5 fois plus graves en rase campagne ( 11.1 tués pour 100 victimes) qu'en ville (2.1 tués pour 100 victimes et même 1.3 tués/100 victimes en agglomération de plus de 20 000 habitants).
Il est donc incontestable que la crainte des accidents de vélo en ville est psychologique (fragilité, pas de carrosserie) et historique (3 fois plus de blessés en 1970 qu'aujourd'hui) et non fondée sur une réalité.
Qu'en est-il de la gravité des blessures ?
Les catégories d'âges ne sont pas toutes égales face à l'accident de vélo. Les jeunes de moins de 14 ans sont particulièrement exposés, tout comme les plus de 65 ans alors que la tranche d'âge qui statistiquement risque le moins est la tranche 25-39 ans.Gravité Cycliste Voiture Piéton Faible à moyenne 92% 93% 84% Forte 8% 7% 16% Blessure au crâne 17% 24% 26% Tués 0,4% 1,3% 2,3% Etude réalisée en 2004 et 2005 par l'ONISR en Rhone-Alpes
Il apparaît donc clairement que les accidentés à vélo sont moins gravement touchés que les autres catégories d'usagers.
Tués/100 victimes Cyclistes 3,78 Voitures 5.39 Piétons 4.46 Sécurité Routière 2005Ces chiffres issus de l'ensemble des accidents en France en 2005 mettent en évidence de façon plus large que les cyclistes sont proportionnellement moins fatalement touchés.
Et le port du casque ?
La troisième ligne de l'avant-dernier tableau est assez intrigante puisqu'elle met clairement en évidence que les lésions au crâne sont sensiblement moindres en vélo qu'en voiture ou à pied. Si le port du casque est indispensable chez les enfants, il s'avère moins nécessaire chez les adultes. Le rendre obligatoire devrait concerner prioritairement les piétons et les automobilistes ! A noter qu'en Australie le nombre de cyclistes a diminué de 30% après que le casque ait été rendu obligatoire. Le vélo en ville est tout de même synonyme de liberté et la contrainte d'un casque enlève cette sensation. Je précise que je ne le porte pas en ville mais toujours pour la pratique sportive où les risques sont bien plus grands.
Dois-je attendre qu'il y ait plus de cyclistes pour m'y mettre ?
Non bien sûr car il existe en effet une cercle vertueux du vélo. Plus la part modale du vélo est importante par rapport à la voiture et moins il y a d'accidents. Les automobilistes adaptent leur conduite et peuvent moins s'imposer car moins en surnombre. Bien entendu cela dépend aussi des infrastructures cyclables. Plus elles sont présentes et plus il y aura de cyclistes et inversement. A ce niveau, Paris est une ville correcte à vélo, comme Toulouse alors que Marseille est plutôt difficile.
D'après les stats de 96 à 98
3 enseignements :
- Plus il y a de cyclistes en proportion des autres moyens de transport et moins les accidents sont graves
- Le port du casque n'est pas probant
- La France se fait remarquer (en liaison avec l'insécurité routière d'une manière générale)
Le phénomène de diminution des risques d'accidents est aussi visible avec la distance parcourue en moyenne par les cyclistes. Plus les cyclistes sont habitués à se déplacer à vélo et moins ils ont de chance d'avoir un accident.
Finalement, le principe est un peu le même que la pollution. Tant que les automobilistes persisteront dans leur boîte en fer alors le danger et la pollution seront présents en ville. A l'inverse s'ils l'abandonnent, que du bonheur !!!
Photos : Liu Tao http://www.chine-nouvelle.com cette photo fit polémique car le photographe aurait été au courant qu'il y avait un trou dans la chaussée ! - Bush tout égratigné...l'inexpérience est facteur de risque et personne n'est à l'abri
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Comment concilier vie professionnelle, vie familiale, vis associatives, loisirs …. ? C’est une préoccupation grandissante qui se justifie, alors que l’urbanisation est en développement, par le besoin d’améliorer le fonctionnement des villes et da faciliter la vie quotidienne des citoyens.
Pourquoi mettre en place des bureaux des temps ?
Nous sommes dans une société où près de 1/3 des Français travaillent en horaires décalés, Il s’agit d’harmoniser le temps dans tous les domaines de l’activité humaine, qu’il s’agisse du temps passé au travail, à l’école pour les enfants, et de la vie hors du travail et de l’école.
Cela se traduit en mobilité, en accessibilité, en disponibilité des services publics (notamment pour ce qui concerne la prise - en - charge des enfants) ; cela se traduit aussi en meilleurs transports en commun (circulation de jour et de nuit). Le temps des villes est bel - et - bien une politique transversale qui nécessite concertation entre les élus, les habitants et les professionnels.
Le temps des villes
Nés en Italie dans les années 1990, les bureaux des temps se sont développés en France au début des années 2000. Des collectivités locales se sont intéressé à l’organisation du temps - horaires d’ouverture et accessibilité des services – et à la coordination des systèmes d’horaires sur leur territoire – transports, loisirs, travail, etc. – dans un objectif d’amélioration de la qualité de vie. Cette organisation n’est, évidemment, pas la même dans une ville administrative, étudiante, industrielle ou touristique.
Le rapport Hervé de 2001
Le député-maire de Rennes fût chargé de rédiger un rapport de mission sur le « Temps de Villes ».
- Ce rapport insiste sur le fait que le temps est un puissant révélateur des inégalités sociales au sens large, mais aussi et surtout un révélateur des inégalités entre hommes et femmes. Ces dernières doivent en effet concilier une vie professionnelle plus marquée par la précarité et le temps partiel plus ou moins contraint, et rôle central dans la vie familiale et domestique. Il préconise une approche pragmatique de l’aménagement de la ville :
- préférer la ville multipolaire à la ville éclatée, favoriser la mixité fonctionnelle et sociale, notamment par une implantation adéquate des équipements et services publics.
- le temps des Hommes et le temps des Femmes : mettre en œuvre une véritable égalité politique et professionnelle et favoriser la mixité de la parentalité et le partage des tâches domestiques dans le couple, tout en aménageant les horaires de travail et de garde des enfants.
- le temps des jeunes : aménagement des temps péri et extra scolaire et concentrer dans des lieux dédiés offre culturelle et de loisirs, prévention et médiation sociale.
- le temps des personnes âgées : prendre en compte les diversités des situations, organiser l’animation et l’insertion, et accompagner la maladie et le grand âge.
- le temps des services publics : poser les questions de l’implantation, du rayonnement et des horaires d’ouverture.
- le temps des déplacements : connaître les déplacements pour mieux adapter les réponses des transports publics et favoriser l’inter-modalité.
- le temps du commerce : se poser les questions de la localisation optimale de l’appareil commercial, sur l’amplitude horaire de son ouverture (y compris le problème de l’ouverture dominicale) et des conséquences qu’elle pose en termes sociaux (travail décalé). Ce que nous apprennent les expériences de certaines villes
-A Paris : depuis 2002
* Des concertations locales :
C’est une étape de dialogue destinée à améliorer le service public municipal. Le Bureau des Temps réunit les partenaires internes (directions centrales, mairies d’arrondissement) et externes (autres administrations, institutions, associations, entreprises, syndicats...) pour rechercher des solutions
*Quelques exemples de réalisations sur Paris :
> les nocturnes dans les piscines (2002)
> l’ouverture en accès libre des équipements sportifs répartis dans onze arrondissements (8ème, 9ème, 10ème, 11ème, 12ème, 13ème, 14ème, 17ème, 18ème, 19ème et 20ème), et plus particulièrement des terrains d’éducation physique (TEP) en soirée.
> de nouveaux horaires sont en vigueur dans l’ensemble des parcs et jardins depuis le 1er mai 2007
> l'ouverture des bibliothèques à l’heure du déjeuner, le soir avec une ouverture au minimum jusqu’à 19h du mardi au vendredi, 18h le samedi,> la restructuration ou la création d’équipements municipaux est désormais accompagnée d’une réflexion sur les horaires visant à mieux prendre en compte les besoins des usagers. Ainsi la réouverture du musée du Petit Palais et du musée d’Art Moderne a été l’occasion de créer une nocturne, un jour par semaine lors des expositions.
> l'ouverture un soir par semaine jusqu'à 19h30 des mairies d'arrondissement-A Rennes
TIC TAC le temps à la carte
"Tic Tac le temps à la carte" est un service innovant, imaginé par le Bureau des temps de la Ville de Rennes, actuellement en cours de développement. Il donnera bientôt au public la possibilité de consulter facilement les horaires des 1400 organismes recensés par le Guide Vivre à Rennes et de concilier ses disponibilités avec leurs horaires d'ouverture au public. Nous étendrons par la suite ce service aux évènements et activités diverses…
-L’Espace des temps du Grand Lyon (créé en 2003) ; notamment
• Fluidifier la circulation aux abords des établissements scolaires à Neuville-sur- Saône : des réunions avec les élus, les chefs d’établissement, les parents d’élèves, ont permis de décaler les horaires de sorties et d’entrées des élèves.
• Améliorer les déplacements en transport en commun la nuit en favorisant la mise en place de trois navettes « Pleine lune » après minuit, les jeudis, vendredis et samedis. Ces navettes au départ du centre de Lyon relient les lieux de sorties nocturnes aux résidences étudiantes. Les étudiants sont les principaux utilisateurs, mais 10 % des usagers sont des travailleurs de la nuit.
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Ce que nous pouvons faire, collectivement,à l’échelon de Chaville et/ou de l’agglo :
-pilotage et harmonisation des horaires scolaires (à inclure dans la réflexion « rythmes scolaires » )
-redéfinition des horaires et plan de charges des transports internes aux villes ou intervilles
-aide au déplacement du personnel des entreprises et services publics
-redéfinition des horaires de salles de sport et de culture en liaison avec les usagers et les personnels (à cet égard, à noter l’ouverture de la médiathèque de Viroflay certains dimanches )
- création de crèches à horaires décalés
-affiner les heures et jours d’ouverture des services municipaux (y compris du marché) en lien avec le personnel
-réflexion sur le planning annuel des manifestations sportives et culturelles
Si vous en avez le temps, proposez nous d’autres manières d’optimisez le temps de tous !
http://www.charter-equality.eu/exemple-de-bonnes-pratiques/time-office.html?lang=fr
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Le désormais célèbre lieu culturel "le 104" , grâce à son directeur José-Manuel Gonçalvès et son équipe réinvente l'art du vivre ensemble en plein quartier populaire. Visite non guidée..
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Le Morval ou le ruisseau éphémère : il ne resurgit qu'après de forte pluies ou, comme ici, le 30/01/2013, après des évènements neigeux.
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Le mouvement des Villes en Transition a émergé notamment suite au constat qu’il ne fallait plus attendre grand-chose des « gouvernants » pour mettre en œuvre la transition écologique. Il se fonde sur la prise en main directe par les citoyens, au niveau local, des actions nécessaires à cette transition. Nous appelons ces actions « l’écologie concrète ».
Mais alors, pourquoi s’engager dans la campagne des municipales qui vise justement à accéder au « gouvernement » local ?
Tout d’abord, la présence éventuelle de représentants de Chaville en Transition dans l’exécutif local n’enlèvera rien à la poursuite des actions directes de terrain (sensibilisation au compostage, mise en place se jardins partagés, etc.) et ce, quelque-soit la majorité municipale. Nous pensons cependant qu’un conseil municipal peut SOUTENIR des initiatives de transition et faciliter leurs mises en œuvre. Il ne doit pas pour autant en prendre la DIRECTION qui doit rester au niveau des citoyens.
Chaville en Transition animera ou participera à une liste d’intérêt local qui soutiendra cette approche.
Exemple d’application concrète : les jardins partagés.
Un particulier peut prendre l’initiative de mettre en place et d’ouvrir au public des jardins partagés sur une emprise privée lui appartenant. Aucune autorisation auprès de la Mairie n’est nécessaire. Celle-ci peut simplement soutenir la démarche par exemple avec une communication dans Chaville Magazine.
En revanche, si un groupe de citoyens « sans terrain » souhaite accéder à des emprises publiques ou privées pour s’adonner au maraichage ou pour entretenir un verger abandonné, la contribution de la Mairie sera décisive. Et la présence d’un élu prêt à soutenir le projet est donc essentielle.
Avant toute chose, le groupe de citoyen se constituera en association ou rejoindra une association existante.
Deux cas peuvent se présenter :
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Le terrain appartient à la collectivité locale ou à une SEM départementale : la Mairie met en place une convention entre la ville et l’association. Cette convention décrit les droits et devoirs de chacun. Elle précise également les éventuels moyens mis en place par la ville. On peut tout à fait imaginer une occupation temporaire d’une zone en attente de construction (telle l’emprise au carrefour de la rue Carnot et de la rue Martial Boudet)
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Le terrain est privé (bailleur social, RFF, personne privée) : la Mairie aura un rôle important de négociation avec le propriétaire pour obtenir une convention d’occupation profitable à toutes les parties pour rendre le projet possible.
Liens sur le blog
Carnet Vert : naissance d'un nouveau jardin !
Colibris + Incroyables Comestibles = Nourriture à partager
Pour en savoir plus : l’initiative parisienne : http://www.paris.fr/pratique/jardinage-vegetation/jardins-partages/comment-creer-un-jardin-partage/rub_9111_stand_10187_port_22123
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Découvrez l'initiative d'un habitant de Tremblay dans son quartier: Création d'un restaurant philosophique.
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La ville durable sera circulaire
Je vous conseille vivement la lecture de l’édito du numéro 36 de la revue « EK , la ville en transition » écrit par Dominique Gauzin -Muller . L’auteur cadre bien notre challenge de la transition depuis une ville moderne « linéaire » à une ville valorisante « circulaire » :
-Le métabolisme de la ville linéaire est un flux entrant dense qui ravitaille la cité et ses habitants en produits manufacturés ou non, suivi par un autre flux sortant immédiat qui évacue l’énorme quantité de déchets générés par la vie urbaine.
-La ville circulaire aura ré-appris les fondamentaux de la nature, dans lesquels les détritus produits par un acteur sont valorisés par d’autres lors du cycle complet de la vie .
Nous sommes arrivés à la fin d’une période de gaspillage du « capital nature » par le biais d’une consommation irréfléchie de produits à usage unique. La valorisation des actes ou des objets se cache dans tous les instants de notre journée.
Bonne lecture et bonne année à tous
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Le financement des activités des écoles maternelles et primaires relève en plein de la responsabilité des communes. Beaucoup d’entre elles sont formatrices, au point de vue de l’éveil de l’enfant et de sa socialisation.
L’informatique peut y contribuer, sans en nier les obstacles :
-obstacle financier pour les collectivités
-obstacle surtout lié au manque suffisant de formation des enseignants
-obstacle car les directives et conseils de l’administration sont beaucoup trop timides dans ce domaine
Cet article nous montre que la France n’est que dans la moyenne européenne, loin des pays scandinaves . Le plan numérique développé par le ministre V.Peillon va heureusement dans le bon sens .
PRESENCE DE L'OUTIL INFORMATIQUE DES ECOLE MATERNELLES.
L'école a pour mission d'offrir à tous les enfants les mêmes chances de devenir citoyen et acteur de la société. Tous les enfants scolarisés aujourd'hui n'ont pas les moyens d'accéder chez eux aux avantages que peut procurer l'ordinateur. En mettant des ordinateurs à disposition des élèves, l'école contribue à réduire les différences induites par les inégalités sociales.L'informatique introduit une nouvelle manière de traiter l'information et de résoudre certains problèmes. C'est pourquoi “elle peut et doit trouver sa place à tous les niveaux de l'enseignement et dès l'école maternelle”
Compétences visées
L'utilisation pédagogique de l'ordinateur en maternelle peut être orientée sur cinq grands axes.
1) Expérimenter, s'exercer, découvrirLa maîtrise de l'outil informatique passe nécessairement par une phase de tâtonnement, d'essais, d'expériences. L'enfant découvre un univers qui ne lui est pas forcément familier et qui comporte un certain nombre de règles à observer pour que l'usage en soit satisfaisant . De même, une certaine rigueur et une précision des mouvements sont nécessaires, pour, par exemple, manipuler la souris, faire un dessin ou encore taper intentionnellement sur telle ou telle touche du clavier. En ce qui concerne l'éveil technologique, une approche spontanée, libre, exploratoire , mais sans but didactique précis suscite des réactions personnelles d'intérêt, de curiosité, de désir, d'approfondissement. L'aspect ludique est mis en avant.
2) Produire
Par l'intermédiaire du traitement de texte et d'un logiciel de Publication Assistée par Ordinateur, un journal de classe ou d'école peut être élaboré, et ensuite être tiré à plusieurs exemplaires ou déposé sur les pages Web élaborées par l'école. En maternelle, il s'agira pour l'enfant de se familiariser avec le clavier pour par exemple taper son prénom.3) Chercher, se documenter
Exemple dans le cadre de la bibliothèque
4) Communiquer
Envoyer et de recevoir des messages électroniques grâce à internet, éventuellement en cas d’échange entre classes de lieux différents
5) S'initier au monde de l'écrit
http://bruno.blanchet1.free.fr/ressources-disciplines/maternelle/sites-maternelle.pdf
http://81.57.100.79/ALis_COM/webreportage_maternelle_montmartre.html
Le matériel
Outre les dotations directes de chaque commune, les parents et les citoyens de la commune peuvent y contribuer :
-don direct à l’école
-demande auprès des entreprises pour faire profiter des appareils en cas de renouvellement de parcs
Comme dans certaines communes, la mairie peut faire réparer ou mettre à niveau les appareils ainsi collectés.
Des avancées concrètes, écologiquement responsables car faisant durer le cycle des produits, sont à notre portée, dans ce domaine comme dans tant d’autres.
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Deux vidéos très chouettes expliquant le concept des Repair Café.
Et si on faisait la même chose à Chaville ?
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Par Fabrice Nicolino
Avec la ferme usine utilisant les vaches pour produire de l’électricité, on passe à une autre étape du système qui a provoqué l’hécatombe de la paysannerie et des dégâts environnementaux énormes. Ce n’est pas l’agro-écologie proclamée officiellement, mais l’agro-industrie généralisée. Où l’on plonge en apnée dans une histoire tumultueuse, faite de moissonneuses, de pesticides et de tendres liaisons entre ministres et « syndicalistes » agricoles. Où l’on comprend un peu mieux qu’une vache n’est rien qu’une marchandise ordinaire.
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