• L'association sèvrienne recherche des fonds pour organiser sa fête du tri .

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  • Prenez le temps de découvrir les bureaux des temps !

     

    Comment concilier vie professionnelle, vie familiale, vis associatives, loisirs …. ? C’est une préoccupation grandissante qui se justifie, alors que l’urbanisation est en développement, par le besoin d’améliorer le fonctionnement des villes  et da faciliter la vie quotidienne des citoyens.

    Pourquoi mettre  en place des bureaux des temps ?

    Nous sommes dans une société  où près de 1/3 des Français travaillent en horaires décalés, Il s’agit d’harmoniser le temps dans tous les domaines de l’activité humaine, qu’il s’agisse du temps passé au travail, à l’école pour les enfants, et de la vie hors du travail et de l’école.

    Cela se traduit en mobilité, en accessibilité, en disponibilité des services publics (notamment pour ce qui concerne la prise - en - charge des enfants) ; cela se traduit aussi en meilleurs transports en commun (circulation de jour et de  nuit). Le temps des villes est bel - et - bien une politique transversale qui nécessite  concertation entre  les élus, les habitants et les professionnels.

    Le temps des villes

    Nés en Italie dans les années 1990, les bureaux des temps se sont développés en France au début des années 2000. Des collectivités locales se sont  intéressé à l’organisation du temps - horaires d’ouverture et accessibilité des services – et à la coordination des systèmes d’horaires sur leur territoire – transports, loisirs, travail, etc. – dans un objectif d’amélioration de la qualité de vie. Cette organisation n’est, évidemment, pas la même dans une ville administrative, étudiante, industrielle ou touristique.

    Le rapport Hervé de 2001

    Le député-maire de Rennes fût chargé de  rédiger un rapport de mission sur le « Temps de Villes ».

    • Ce rapport insiste sur le fait que le temps est un puissant révélateur des inégalités sociales au sens large, mais aussi et surtout un révélateur des inégalités entre hommes et femmes. Ces dernières doivent en effet concilier une vie professionnelle plus marquée par la précarité et le temps partiel plus ou moins contraint, et rôle central dans la vie familiale et domestique. Il préconise une approche pragmatique de  l’aménagement de la ville :
    • préférer la ville multipolaire à la ville éclatée, favoriser la mixité fonctionnelle et sociale, notamment par une implantation adéquate des équipements et services publics.
    • le temps des Hommes et le temps des Femmes : mettre en œuvre une véritable égalité politique et professionnelle et favoriser la mixité de la parentalité et le partage des tâches domestiques dans le couple, tout en aménageant les horaires de travail et de garde des enfants.
    • le temps des jeunes : aménagement des temps péri et extra scolaire et concentrer dans des lieux dédiés offre culturelle et de loisirs, prévention et médiation sociale.
    • le temps des personnes âgées : prendre en compte les diversités des situations, organiser l’animation et l’insertion, et accompagner la maladie et le grand âge.
    • le temps des services publics : poser les questions de l’implantation, du rayonnement et des horaires d’ouverture.
    • le temps des déplacements : connaître les déplacements pour mieux adapter les réponses des transports publics et favoriser l’inter-modalité.
    • le temps du commerce : se poser les questions de la localisation optimale de l’appareil commercial, sur l’amplitude horaire de son ouverture (y compris le problème de l’ouverture dominicale) et des conséquences qu’elle pose en termes sociaux (travail décalé). Ce que nous apprennent les expériences de certaines villes

      -A Paris : depuis 2002

      * Des concertations locales : 

      C’est une étape de dialogue destinée à améliorer le service public municipal. Le Bureau des Temps réunit les partenaires internes (directions centrales, mairies d’arrondissement) et externes (autres administrations, institutions, associations, entreprises, syndicats...) pour rechercher des solutions

      *Quelques exemples de réalisations sur Paris : 

      > les nocturnes dans les piscines (2002)

      > l’ouverture en accès libre des équipements sportifs répartis dans onze arrondissements (8ème, 9ème, 10ème, 11ème, 12ème, 13ème, 14ème, 17ème, 18ème, 19ème et 20ème), et plus particulièrement des terrains d’éducation physique (TEP) en soirée.

      > de nouveaux horaires sont en vigueur dans l’ensemble des parcs et jardins depuis le 1er mai 2007
      l'ouverture des bibliothèques à l’heure du déjeuner, le soir avec une ouverture au minimum jusqu’à 19h du mardi au vendredi, 18h le samedi,

      > la restructuration ou la création d’équipements municipaux est désormais accompagnée d’une réflexion sur les horaires visant à mieux prendre en compte les besoins des usagers. Ainsi la réouverture du musée du Petit Palais et du musée d’Art Moderne a été l’occasion de créer une nocturne, un jour par semaine lors des expositions.

      > l'ouverture un soir par semaine jusqu'à 19h30 des mairies d'arrondissement

      -A Rennes

      TIC TAC le temps à la carte  

      "Tic Tac le temps à la carte" est un service innovant, imaginé par le Bureau des temps de la Ville de Rennes, actuellement en cours de développement. Il donnera bientôt au public la possibilité de consulter facilement les horaires des 1400 organismes recensés par le Guide Vivre à Rennes et de concilier ses disponibilités avec leurs horaires d'ouverture au public. Nous étendrons par la suite ce service aux évènements et activités diverses…

       

      -L’Espace des temps du Grand Lyon (créé en 2003) ; notamment

      • Fluidifier la circulation aux abords des établissements scolaires à Neuville-sur- Saône : des réunions avec les élus, les chefs d’établissement, les parents d’élèves, ont permis de décaler les horaires de sorties et d’entrées des élèves.

       

      • Améliorer les déplacements en transport en commun la nuit en favorisant la mise en place de trois navettes « Pleine lune » après minuit, les jeudis, vendredis et samedis. Ces navettes au départ du centre de Lyon relient les lieux de sorties nocturnes aux résidences étudiantes. Les étudiants sont les principaux utilisateurs, mais 10 % des usagers sont des travailleurs de la nuit.

    •  Ce que nous  pouvons  faire, collectivement,à l’échelon de Chaville  et/ou de l’agglo :

       -pilotage et harmonisation des horaires scolaires (à inclure dans la réflexion « rythmes scolaires » )

      -redéfinition des horaires et plan de charges des transports internes aux villes ou intervilles 

      -aide au déplacement  du personnel des entreprises et services publics

      -redéfinition des horaires de salles de sport et de culture en liaison avec les usagers et les personnels (à cet égard, à noter l’ouverture de la médiathèque de Viroflay certains dimanches )

      - création de crèches à horaires décalés

      -affiner les heures et jours  d’ouverture des services municipaux (y compris du marché) en lien avec le personnel

      -réflexion sur le planning annuel des manifestations sportives et culturelles

      Si vous en avez le temps, proposez nous d’autres manières d’optimisez le temps de tous !

      http://www.paris.fr/politiques/citoyennete/bureau-des-temps/comment-fonctionne-le-bureau-des-temps/rub_8161_stand_33581_port_18832

      http://www.maire-info.com/urbanisme-habitat-logement/politique-de-la-ville/un-bureau-des-temps-charge-d-harmoniser-les-horaires-des-services-publics-avec-les-besoins-qui-decoulent-de-la-vie-familiale-et-professionnelle-dans-les-communes-de-plus-de-20-000-habitants-propose-le-rapport-herve--article-666

      http://www.charter-equality.eu/exemple-de-bonnes-pratiques/time-office.html?lang=fr

      http://www.territorial.fr/PAR_TPL_IDENTIFIANT/16658/TPL_CODE/TPL_REVUE_ART_FICHE/PAG_TITLE/Les+bureaux+du+Temps+%3A+10+ans+d%27exp%E9rience/47-lettre-du-cadre.htm

       

     

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  • Le désormais célèbre lieu culturel "le 104" , grâce à son directeur José-Manuel Gonçalvès et son équipe réinvente l'art du vivre ensemble en plein quartier populaire. Visite non guidée..

     

     

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  • Le Morval ou le ruisseau éphémère : il ne resurgit qu'après de forte pluies ou, comme ici, le 30/01/2013, après des évènements neigeux.

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    Le mouvement des Villes en Transition a émergé notamment suite au constat qu’il ne fallait plus attendre grand-chose des « gouvernants » pour mettre en œuvre la transition écologique. Il se fonde sur la prise en main directe par les citoyens, au niveau local, des actions nécessaires à cette transition. Nous appelons ces actions « l’écologie concrète ».

    Mais alors, pourquoi s’engager dans la campagne des municipales qui vise justement à accéder au « gouvernement » local ?

    Tout d’abord, la présence éventuelle de représentants de Chaville en Transition dans l’exécutif local n’enlèvera rien à la poursuite des actions directes de terrain (sensibilisation au compostage, mise en place se jardins partagés, etc.) et ce, quelque-soit la majorité municipale. Nous pensons cependant qu’un conseil municipal peut SOUTENIR des initiatives de transition et faciliter leurs mises en œuvre. Il ne doit pas pour autant en prendre la DIRECTION qui doit rester au niveau des citoyens.

    Chaville en Transition animera ou participera à une liste d’intérêt local qui soutiendra cette approche.

    Exemple d’application concrète : les jardins partagés.

    Un particulier peut prendre l’initiative de mettre en place et d’ouvrir au public des jardins partagés sur une emprise privée lui appartenant. Aucune autorisation auprès de la Mairie n’est nécessaire. Celle-ci peut simplement soutenir la démarche par exemple avec une communication dans Chaville Magazine.

    En revanche, si un groupe de citoyens « sans terrain » souhaite accéder à des emprises publiques ou privées pour s’adonner au maraichage ou pour entretenir un verger abandonné, la contribution de la Mairie sera décisive. Et la présence d’un élu prêt à soutenir le projet est donc essentielle.

    Avant toute chose, le groupe de citoyen se constituera en association ou rejoindra une association existante.

    Deux cas peuvent se présenter :

    • Le terrain appartient à la collectivité locale ou à une SEM départementale : la Mairie met en place une convention entre la ville et l’association. Cette convention décrit les droits et devoirs de chacun. Elle précise également les éventuels moyens mis en place par la ville. On peut tout à fait imaginer une occupation temporaire d’une zone en attente de construction (telle l’emprise au carrefour de la rue Carnot et de la rue Martial Boudet)

    • Le terrain est privé (bailleur social, RFF, personne privée) : la Mairie aura un rôle important de négociation avec le propriétaire pour obtenir une convention d’occupation profitable à toutes les parties pour rendre le projet possible.

     

    Liens sur le blog

    Carnet Vert : naissance d'un nouveau jardin !

    Colibris + Incroyables Comestibles = Nourriture à partager

     

    Pour en savoir plus : l’initiative parisienne : http://www.paris.fr/pratique/jardinage-vegetation/jardins-partages/comment-creer-un-jardin-partage/rub_9111_stand_10187_port_22123

     

     

     

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